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Défi #19 : Je choisis des macro nutriments de qualité.

Défi #19 : Je choisis des macro nutriments de qualité.

Les macro nutriments sont ce que l’on appel plus communément Glucides, Lipides et Protéines.

L’alimentation holistique est une alimentation qui respectera votre organisme tout entier : corps – âme – esprit, à vous être unique. Donc on oubli tous les régimes des magasines féminins des années 90 et on s’oriente vers une alimentation bienveillante et en pleine conscience, sans frustrations ni culpabilité. Vous adaptez en fonction de vos propres ressentis et envies du moment sans pression aucune. On reste sur le principe du 80/20 : 80% d’alimentation nutritive et vivante pour 20% d’alimentation instinctive.

La clé d’une alimentation équilibrée et nutritive réside dans le bon choix des aliments en respectant les apports nécessaires en Glucides, Protéines et Lipides. Aujourd’hui, je viens vous guider pour mieux choisir vos macro nutriments.

Glucides, index glycémique, insuline et charge glycémique

L’index glycémique est un outil très utile pour comparer les glucides. Il mesure l’impact d’un aliment glucidique (pain, pâtes, riz, farines, sucre…) sur le sucre sanguin. C’est un calcul basé sur la courbe du taux de glucides dans le sang testé à la suite de l’ingestion de tel ou tel aliment. Cette courbe est comparée à celle d’aliments “référents”, le glucose ou le pain blanc qui ont tous deux un IG de 100.

L’index glycémique se mesure sur une échelle qui va de 0 à 100. Plus il est élevé et plus les glucides contenus dans l’aliment que l’on a mangé passent dans le sang. En dessous de 40, on considère l’index glycémique faible.

Si une notion est essentielle pour bien comprendre le rôle de la nutrition sur la santé, c’est bien celle des glucides et de leur effet sur la sécrétion d’insuline.

L’insuline est une hormone se situant au carrefour de nombreuses voies métaboliques. Elle permet à l’organisme de stocker sous forme de glycogène le glucose présent dans le sang en trop grande quantité suite à une consommation excessive d’aliments glucidiques ou d’aliments dits « hyperglycémiants ». Toutefois, si ce stock de glycogène est déjà saturé, l’organisme va transformer l’excédent de glucose en triglycérides, constituants de base des graisses corporelles.

Si le taux d’insuline change fortement et brutalement, des symptômes de l’hypoglycémie peuvent apparaître, tels que : faiblesse musculaire, fatigue, perte d’énergie, fringales, difficulté de concentration, nervosité… D’ou l’importance de privilégier les aliments glucidiques à l’origine d’une faible sécrétion d’insuline.

Certains facteurs viennent influencer l’index glycémique :

  • Les fibres végétales, les protéines et les lipides réduisent l’index glycémique d’un aliment donc on mise sur les associations glucides à IG bas / lipides / protéines.
  • Le moment que l’on choisit pour consommer des glucides : un IG élevé à jeun va provoquer un « pic glycémique » générant ainsi une sécrétion intense d’insuline avec des répercussions importantes sur le reste de la journée.
  • Les cuissons fortes (fritures, céréales soufflées, four, hautes températures, les cuissons longues) et les procédés de transformation industriels (trop de sel, raffinage) vont, quant à eux, augmenter l’index glycémique.
  • Notre propre métabolisme : chaque personne ayant un métabolisme différent, cet index glycémique peut varier d’un individu à l’autre.

Il faut bien comprendre que l’index glycémique est tout à fait différent du taux de glucides de l’aliment. Ex : la pastèque contient 7,5g de glucides pour 100g mais son index glycémique est de 72. Inversement, les abricots secs contiennent 39g de glucides pour 100g mais leur index glycémique est de 35.

L’indication de la charge glycémique est donc interessante : c’est  le rapport entre la part de glucides consommée et l’Index Glycémique. Le calcul : Il faut multiplier l’Index Glycémique de l’aliment par la quantité de glucides contenus dans la portion que l’on a mangé et diviser le tout par 100.

L’avantage est donc que cela prend en compte la quantité de glucides consommés (car même avec un IG faible, il s’agit de ne pas abuser d’aliments sucrés). En dessous de 10, on considère la charge glycémique faible et au dessus de 20, élevée.

Lipides et importance du « bon gras » dans notre alimentation

Les acides gras saturés

Ce sont des graisses qui sont solides à température ambiante et qui résistent bien à la chaleur. On les retrouve dans le beurre, la crème, le fromage, les viandes grasses, l’huile de palme et l’huile de coco.Les graisses saturés n’ont pas la cote. Pourtant, elles sont indispensables à notre organisme : elles fournissent de l’énergie, des vitamines, et jouent un rôle dans la formation des membranes de nos cellules.En revanche, l’excès de graisses saturées augmente le risque cardiovasculaire lorsqu’il est associé à d’autre facteurs :

  • Alimentation riche en glucides. Une consommation importante de graisses saturées associée à une consommation importante de glucides, comme c’est le cas dans les régimes occidentaux traditionnels, favorise les maladies cardiovasculaires.
  • Apport déséquilibré en graisses. Nous consommons aujourd’hui trop de graisses saturées et d’Oméga-6 par rapport aux Oméga-3. Ce déséquilibre contribue au risque cardiovasculaire.

Tout est question d’équilibre…

Les acides gras insaturés, les fameux Oméga-3-6-9.

– Les Oméga-3

Il s’agit d’acides gras dits « essentiels » car notre organisme ne sait pas les synthétiser lui-même. Ils doivent donc être apportés par l’alimentation.
Les Oméga-3 sont principalement présents dans les poissons gras (thon, saumon, maquereaux, sardines, etc.), dans l’huile de Colza, dans les graines (chia, lin, noix, chanvre) et dans certains légumes à feuille verte (épinards, mâche, choux, algues).Les Oméga-3 possèdent de nombreuses propriétés et jouent un rôle crucial sur notre santé : ils contribuent au développement du cerveau, des muscles et des os. Ils sont aussi un allié indispensable dans la réduction de risques de maladies cardio-vasculaires et protègent notre système immunitaire.

– Les Oméga-6

Comme les Oméga-3, les Oméga-6 sont des acides gras dits essentiels car nous ne savons pas les fabriquer nous-mêmes à partir des autres graisses que l’on consomme.Les aliments les plus riches en Oméga-6 sont la viande, les oeufs de poules nourries au maïs ou au soja, le beurre, le fromage, certaines huiles (tournesol, pépins de raisin).On en trouve aussi en grande quantité dans de nombreux produits industriels transformés (biscuits sucrés, chips, plats préparés, etc.).Les Oméga-6 sont des graisses indispensables impliquées dans de nombreuses fonctions comme la reproduction, les défenses immunitaires ou encore le développement cérébral. Mais, tout comme les graisses saturées, nous les consommons aujourd’hui en excès par rapport à nos besoins, ce qui augmente le risque de maladies cardio-vasculaires.Notre consommation d’Oméga-6 est particulièrement déséquilibrée par rapport à notre consommation d’Oméga-3.

– Les Oméga-9

Ce sont des acides gras que nous pouvons fabriquer nous-mêmes à partir des graisses saturées que l’on consomme, et que l’on retrouve aussi directement dans certains aliments.Les Oméga-9 sont très abondants dans l’huile d’olive, l’huile de noisette, l’avocat, les noisettes, les amandes. Les graisses animales (viande, fromage, beurre) contiennent aussi des Oméga-9 en bonne quantité, mais ce ne sont pas les sources les plus intéressantes car elles contiennent aussi beaucoup d’acides gras saturés et d’oméga 6.Les Oméga-9 jouent un rôle important dans la prévention du diabète et des maladies cardio-vasculaires. L’avantage est que nous sommes rarement en carence d’Oméga-9 car ils sont présents dans de nombreux aliments, et que notre organisme sait par ailleurs les fabriquer à partir d’autres sources de lipides.

Un déséquilibre Oméga 3-Oméga 6 :

Notre consommation d’Oméga-6 est particulièrement déséquilibrée par rapport à notre consommation d’Oméga-3. Malheureusement, nous ne consommons que 30% environ des apports conseillés en Oméga-3.Nous devrions consommer au maximum 5 fois plus d’Oméga-6 que d’Oméga-3. Mais nous en consommons 10 à 15 fois plus.La consommation excessive d’Oméga-6 nuit au métabolisme des Oméga-3. Ce déséquilibre contribue alors au développement des maladies cardiovasculaires.

Rééquilibrer ses apports en graisses

Adoptez les bons réflexes :

  • Consommez chaque jour 2 cuillères à soupe d’huile de colza première pression à froid, en vinaigrette ou en assaisonnement sur vos aliments. L’huile de noix et de lin sont, elles aussi très riches en oméga-3, mais l’ennui c’est qu’elles sont fragiles et une fois ouvertes elles perdent leurs apports.
  • Consommez du poisson gras 1 à 2 fois par semaine, en privilégiant les petits poissons qui subissent moins la pollution et contiennent moins de métaux lourds que les gros (sardines, maquereaux, anchois).
  • Consommez chaque jour une poignée de noix et amandes au petit-déjeuner ou en collation.
  • Consommez chaque jour des légumes à feuilles vertes, ils sont riches en Oméga 3.
  • Privilégiez les cuissons à chaleur douce pour protéger les Oméga-3 et les Oméga-6 de l’oxydation.
  • Privilégiez les protéines animale de filière oméga 3 qui vous garantit la réintroduction des graines de lin dans l’alimentation du bétail et permet d’obtenir du lait, des œufs et la viande plus riches en Oméga-3

Evitez certains aliments :

  • Réduisez votre consommation de viandes grasses à 1 fois par semaine maximum (bœuf, porc, mouton, charcuterie, peau de volaille)
  • Limitez votre consommation de produits issus d’animaux d’élevage intensif. Vérifiez le mode d’élevage, la traçabilité, l’alimentation… Consommez moins et mieux.
  • Réduisez votre consommation de matières grasses laitières (fromage, beurre, crème, etc.). 3 à 4 fois par semaine me semble être une bonne moyenne en variant les produits. Pas tous les jours et sûrement pas 3 produits laitiers par jour… Et toujours en vérifiant le mode de production et la qualité du produit.
  • Evitez les produits industriels transformés, en particulier lorsqu’ils contiennent des “matières grasses partiellement hydrogénées”
  • Evitez les fast food de qualité médiocre. On a la chance de pouvoir manger de la « finger food » de meilleure qualité maintenant. Soyez exigeant la dessus aussi

Zoom sur les acides gras « trans » :

Les acides gras « trans » sont des acides gras crées par les industriels et présents dans de trop nombreux produits envahissants les rayons des supermarchés. Ils représentent un véritable danger pour la santé et surtout pour notre système cardio-vasculaire.Il faut savoir que même si les procédés industriels ont permis de diminuer la teneur en acides gras trans, il est malheureusement difficile de connaître leur teneur dans un aliment car la législation européenne n’impose pas de le mentionner.
C’est un véritable poison que les industriels cachent partout. Leur conséquence sur la santé est inquiétante, d’où l’importance de consommer le moins possible d’aliments industriels et de se tourner au maximum vers une alimentation brute, naturelle, vivante.
La grande majorité des acides gras trans de notre alimentation sont obtenus via un procédé industriel d’hydrogénation des acides gras insaturés. L’hydrogénation est une réaction chimique qui consiste à ajouter des molécules de dihydrogène au composé initial. Ce procédé permet de modifier la structure moléculaire des acides gras saturés, afin de leur donner une texture plus ferme et d’augmenter leur durée de conservation.
Les acides gras trans sont présents dans de nombreux produits industriels ayant subi un procédé d’hydrogénation visant à solidifier les matières grasses végétales : plats préparés, pâtisseries et biscuits industriels, pâtes à tarte, certaines margarines, quiches, pizzas, biscuits apéritifs, pâtes à tartiner, barres de céréales, etc.
Soyez attentifs, consommez en connaissance de cause.

L’intérêt des protéines végétales

La consommation de protéines animales aujourd’hui est trop importante et cela a un mauvais impact sur la planète et notre santé.

Nous consommons aujourd’hui suffisamment de protéines : nous n’avons pas de carence quantitative. En revanche, nous avons des carences qualitatives.

La viande, le poisson, les produits laitiers et aussi les oeufs ont subit les dégas d’une civilisation trop industrialisée. Et nous les subissons aussi lorsque nous les consommons : antibiotiques, hormones, additifs, nitrites, perturbateurs endocriniens, OGM… La qualité n’est plus au rendez-vous. L’alimentation de ces animaux n’est plus adaptée (maïs, soja, OGM) ni la façon de les traiter. La consommation de ces bêtes malades ne peut plus nous apporter les apports escomptés et nous rend malade aussi.

Nous consommons actuellement trop de protéines animales au détriment des protéines végétales. Ainsi, il est fréquent que nous manquions d’un ou plusieurs acides aminés essentiels. Une carence en un seul aminé essentiel peut entraîner de la fatigue, un manque de concentration ou encore des troubles du sommeil.

En dehors de l’oeuf, aucune protéine animale ni végétale ne contient l’ensemble des acides aminés dans des proportions aussi optimales : elles ont toute une teneur trop faible en certains acides aminés essentiels. Il est donc important de combiner les différents types de protéines afin d’assurer à l’organisme un apport en acides aminés dans des proportions idéales.

Tout comme les protéines animales (à l’exception de l’oeuf), les protéines végétales présentent une teneur limitée en acides aminés essentiels, voire ne contiennent pas certains acides aminés essentiels. Cela ne pose aucun problème si on combine des sources variées de protéines végétales afin d’assurer un apport optimal en acides aminés essentiels.

Cette combinaison peut se faire en sein de la journée et pas nécessairement au sein du même repas. Ainsi, la consommation régulière de céréales , d’oléagineux et de légumineuses variés permet généralement d’assurer un apport complet.

Pour aller plus loin dans la prise en main de votre santé, les programmes Healthy and You sont là pour vous guider 👉🏼 Programmes Healthy and You.

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Prenez soin de vous les amis Healthy 😘

Défi #14 : Je soigne les bobos de l’hiver au naturel

Défi #14 : Je soigne les bobos de l’hiver au naturel

L’hiver c’est cocooning, le plaid, le lait chaud, les feux de cheminée, la chaleur de nos foyers🥰 Mais c’est aussi le nez qui coule, les enfants qui ont de la fièvre et la très glamour gastro-entérite ! 🤪🤷🏼‍♀️

Nous rentrons dans la période hivernale et qui dit hiver dit virus et infections. Je me suis donc dis que j’allais partager avec vous mes petits antidotes naturels. J’ai fait une sélection de produits naturels, à portée de tous, faciles à trouver et peu onéreux. Valables pour toute la famille, adultes et enfants !

Pour chaque bobo une solution !

Les infections ORL : rhume, otites, bronchites, laryngites

Dès que le rhume se fait sentir, lavez votre nez à l’eau de mer 3 fois par jour. rien de plus efficace ! Et pour les enfants aussi, il existe des sprays adaptés aux enfants. C’est mieux que le sérum physiologique car l’eau de mer contient des oligoéléments.

Il est important d’être rigoureux sur ce point là car si le nez est encombré les germes pourront venir s’y nicher bien au chaud et c’est vraiment le point de départ d’autres pathologies ORL courantes. Tout commence souvent par un simple rhume… Donc ne jamais prendre un petit rhume à la légère.

On mise aussi sur les infusions de thym très efficaces pour renforcer et soigner la sphère ORL. 3 tasses par jour avec un bon miel bio de qualité.

Tous les miels ont leur rôle à jouer pour stimuler notre système immunitaire et sont tous bénéfiques pour le système ORL mais j’ai tout de même une préférence pour les miels de romarin, de thym et de bruyère très efficaces contre les infections hivernales.

Le jus de citron frais et pressé « maison » est aussi un excellent antibactérien et un antiviral naturel. C’est une bombe de vitamine C, il viendra booster votre système immunitaire. Il est idéal pour venir à bout des infections ORL.

Certains aliments tels que les produits céréaliers : les farines, les pâtes, le riz, le blé, le pain, le sucre, les produits industriels etc… et les laitages sont à proscrire pendant quelques temps lors d’une infection ORL. En effet, ce genre d’aliment vient rajouter de la colle au niveau des muqueuses de la sphère ORL.

NB : Ces conseils ne dispensent pas d’une consultation chez le médecin. Naturopathie et médecine allopathique ne sont pas dissociables mais complémentaires.

La toux

La toux n’est pas une maladie en soit mais plutôt un symptôme. Si le corps a se réflexe c’est pour évacuer les mucosités, les toxines, les déchets collants qui le gênent, donc on le laisse faire son travail et on évite de l’en empêcher avec des antitussifs.

La aussi on peut soulager les muqueuses de la sphère ORL en évitant de rajouter de la colle avec les produits céréaliers et les laitages. Donc on met de côté les farines, les pâtes, le riz, le blé, le pain, le sucre, les produits industriels etc… et les laitages pendant quelques temps.

On soulage avec une cuillère de miel, cette fois ci, le miel de thym et d’eucalyptus seront vos alliés contre la toux.

Les infusions de thym sont ici aussi les bienvenues 3 fois par jour.

Si la toux dégénère et que la respiration se fait sifflante et avec difficulté, ne tardez pas et prenez vite rdv chez le médecin.

La fièvre

La fièvre est bénéfique pour lutter contre les virus et infections. Bien sûr, si elle dépasse 38,5 et notamment chez l’enfant et si son comportement est anormal on consulte rapidement.

Néanmoins, au dessous de 38,5 laissez votre corps faire son travail. Les virus ne peuvent se développer au delà de 38,5 ℃. Nous avons tendance à vouloir absolument faire baisser la fièvre mais le corps utilise la fièvre comme arme de défense donc laissons faire. Nous guérirons plus rapidement.

L’Angine

Dans un premier temps, demandez à votre médecin de pratiquer le Strepto Test ou test de diagnostic rapide de l’angine. Il consiste à pratiquer un prélèvement au niveau des amygdales pour l’analyser à l’aide d’une bandelette pour savoir si l’angine est virale ou non. Ce test vous évitera une prise d’antibiotique inutile.

En fonction du résultat la prise en charge sera différente.

Quoi qu’il en soit, mon chouchou pour calmer l’inflammation reste le curcuma que vous pouvez trouver en capsule. Il vous suffira de suivre la posologie conseillée par le fabriquant.

Sinon, vous pouvez aussi vous faire des Golden Latte 3 fois par jour avec du curcuma en poudre cette fois : lait d’amande, 1 CAC de curcuma, du poivre et du miel.

Le miel pourra ici aussi vous soulager. Et pour les plus courageux, le jus de citron.

La Gastro-entérites

Le corps élimine naturellement le virus. Laissez le faire.

Si vous vous sentez faible et que vous avez envie de manger, le riz et son eau seront votre allié.

Mais si rien ne passe, le jeûne vous fera le plus grand bien.

Pensez surtout à bien vous hydrater.

L’infusion de thym peut être d’une grande aide ici aussi (en plus de l’eau et pas en substitut). Le thym viendra agir sur la muqueuse intestinale inflammée.

En prévention

🧚🏼Un truc tout bête mais plus qu’essentiel, pensez à aérer la maison tous les jours. Un air sain dans lequel nous vivons et respirons sera garant d’un système ORL plus résistant.

🧚🏼 Le thym renforce la flore intestinale et le système ORL, vous pouvez l’intégrer au quotidien sous forme d’infusion, une fois par jour en prévention.

🧚🏼 Un jus de citron pressé tous les matin, c’est une petite bombe de vitamine C et un anti-bactérien naturel.

🧚🏼Vous pouvez suivre une cure d’actibiotiques au début de l’hiver pour renforcer votre flore intestinale et donc votre système immunitaire.

Tout comme les probiotiques, il s’agît de bonnes bactéries. Mais celles-ci sont prélevées dans leur milieu de fermentation et une partie de ce milieu en a été prélevé également. Ce milieu de culture est interessant car il est riche en métabolites qui vont lutter contre les mauvaises bactéries et les microbes. Donc encore plus interessants que les probiotiques.

Les enfants peuvent tout à fait suivre une cure d’actibiotiques.

🧚🏼 Les probiotiques, quant à eux, sont conseillés pour reconstituer une flore intestinale déstabilisée et desequilibrée suite à la prise d’antibiotiques

🧚🏼 La spiruline, le super aliment des supers aliments ! C’est un complément alimentaire complet et naturel ! Elle est riche en fer, en vitamines et minéraux. Elle donne de l’énergie et combat la fatigue et l’anémie.

Vous pouvez faire une cure de 30 jours sous forme de comprimés avant l’arrivée de l’hiver. A prendre plutôt le matin car elle est énergisante. Vérifiez la provenance et le mode de fabrication. Elle doit être séchée à froid pour la préservation de ses nutriments.

Elle est aussi interessante après une infection car elle optimise la récupération.

Vous pouvez aussi l’intégrer dans vos repas puisqu’il s’agit d’un aliment.

Je vous conseille celle-ci de fabrication française, séchée et comprimée à froid :

🧚🏼Et la star de l’hiver c’est l’huile essentielle de ravinsara qui vient stimuler le système immunitaire et aussi le système nerveux pour lutter contre la fatigue. On peut également l’utiliser chez l’enfant et les bébés, c’est une huile essentielle extrêmement bien tolérée. Vous pouvez appliquer directement 1 goutte par jour sur le thorax en prévention ou après contamination.

Elle a un potentiel antiviral exceptionnel, surtout pour les voies respiratoires. Anti-infectieuse remarquable avec une belle activité antibiotique, elle évite les risque de surinfection lorsqu’on a attrapé une maladie virale.

Elle renforce l’immunité de façon exceptionnelle en stimulant les glandes surrénales.

Elle lutte contre l’écoulement nasal et facilite la toux.

Elle est neurotonique, énergisante mais non excitante.

Elle est antidouleur et antispasmodique.

Vous l’aurez compris, s’il ne fallait en choisir qu’une pour l’hiver…

🧚🏼Il y a aussi l’extrait de pépin de pamplemousse : riche en flavonoïdes (antioxydants), l’extrait de pépin de pamplemousse est considéré comme un des meilleurs antibiotiques naturels. Il soutient le système immunitaire sans l’affaiblir et il est très efficace en prévention comme en traitement d’attaque contre les infections hivernales.

Veillez à bien le choisir, vérifiez qu’il s’agit bien de pépins de Citrus paradis, privilégiez les extraits obtenus sans solvant chimique, sans alcool et de préférence avec de la glycérine végétale, sans pulpe ou péricarpe, sans ajout de bioflavonoïdes ou de vitamine C ou d’additifs. Choisissez la forme liquide et méfiez vous des importations bon marché.

Et surtout, le premier des remèdes et la meilleure des préventions, le combo d’une vie saine pour un organisme robuste : alimentation vivante et naturelle, activité physique régulière, sommeil de qualité, repos et relaxation.

Les médicaments

Ne sautons plus sur le premier médicament dès qu’on a un petit symptôme. Les symptômes sont la preuve que le corps se défend. Ayez confiance en vous, en votre corps, il est plein de resources et la nature est bien faite.

La prise de médicament ne doit pas se faire de façon anodine. Je ne dis pas qu’ils ne sont pas nécessaire mais nous avons tendance à trop y avoir recours de façon trop systématique. Et nous savons maintenant les conséquences que la prise de médicament peut avoir sur notre organisme, sur notre barrière intestinale, notre flore intestinale et donc notre système immunitaire ! Avec des effets collatéraux que l’on pourrait éviter. C’est contre productif.

Et gardez en tête que le système immunitaire a besoin de s’entraîner pour se renforcer et que ce n’est qu’en rencontrant des germes qu’il se structurera et se renforcera.

Accompagnez votre corps plutôt que d’agir contre lui.

Pour les parents, je vous conseille le livre de Nadia Christensen : Enfants en bonne santé toute l’année.

Si vous passez votre hiver à enchaîner infections sur infections, une cure detox vous aidera à renforcer votre système immunitaire.

Les programmes Healthy and YOU sont là pour vous aider si vous avez besoin d’être pris en main.

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« Se réveiller en santé chaque matin, est la plus grande richesse que nous puissions avoir dans la vie « .

Gratitude
Défi #13 : Je guide mon enfant vers une meilleure alimentation

Défi #13 : Je guide mon enfant vers une meilleure alimentation

Avant de commencer cet article je précise que je n’écris pas cet article dans le but de culpabiliser les parents mais dans une démarche préventive.

Chaque parent fait de son mieux et si je peux ajouter une petite pierre à l’édifice je le fais avec plaisir, par amour pour mon prochain et parce que c’est mon métier.

Nous sommes maintenant plusieurs générations à avoir subis les méfaits de l’industrialisation et nous nous sommes bien éloignés de nos fondamentaux naturels.

Il est temps de revenir à nos instincts et d’enseigner aux prochaines générations le respect de la planète, de notre corps et de sa santé, de l’ordre naturel des choses.

Nous pouvons à notre petite échelle changer bien des choses qui au final seront bénéfiques et profitables pour tous.

Ce qui est valable pour nous l’est surtout pour ce petit humain en devenir. Donnons à nos enfant l’accès à une alimentation vivante. Guidons les vers un « mieux être » et pour une vie meilleure dans son présent mais aussi dans son futur, à l’âge adulte. De bons fondements pour moins de soucis en vieillissant.

L’apprentissage se fait dès tout petit, des habitudes saines et naturelles dès le plus jeune âge. Pour les tout petits, retardons le plus possible leur rencontre avec l’alimentation industrielle. Pour ceux qui sont déjà grand il n’est pas trop tard. Pour ce qui est du temps, il est tout à fait possible de faire un repas simple, bon et sain en moins de 30 minutes. cf Article « Je prépare le repas en moins de 30 minutes

Alors plus d’excuses, voici comment mieux manger à la maison en 7 étapes.

1. Prendre la décision ensemble et expliquer.

Lorsque nos enfants sont grands et que les mauvaises habitudes sont bien encrée, il n’est pas impossible d’inverser la tendance. On prends un moment pour expliquer le corps humain, pour comprendre pourquoi nos organes, nos muscles, nos os, notre peau, notre cerveau, nos fluides ont besoin d’une alimentation qui vient de la terre et non des mains de l’homme.

Expliquons que la nourriture industrielle et le sucre laissent des déchets dans notre corps et que pour éliminer ces déchets le corps à besoin de fruits et de légumes à chaque repas. L’enfant n’a pas envie d’avoir des déchets dans son corps il sera d’accord pour trouver une solution. Pour les jours où il rechigne les légumes, rappelez lui qu’il a des déchets à éliminer mais sans forcer, on prend le temps de mettre de bonnes habitudes en place. Pas d’impatience, c’est un travail sur la durée.

Et surtout on montre l’exemple ! C’est bon pour tout le monde. C’est une dynamique familiale. L’enfant ne fait pas ce qu’on lui dit il reproduit ce qu’on lui montre.

2. Faire la liste des courses ensemble

Les enfants sont beaucoup plus coopératifs lorsqu’ils se sentent impliqués.

Par exemple proposez de réduire à un ou 2 produits industriels par semaine et définissez le jour. Les enfants aiment lorsque c’est bien programmé pour être sûr.

Faites la liste de courses ensemble et laissez les choisir 2 produits industriels qu’ils aimeraient cette semaine.

À l’aide d’un tableau des fruits et légumes de saison laissez les choisir les fruits et légumes qu’ils préfèrent. Ce tableau peut rester en évidence pour que l’enfant intègre le respect des saisons.

Vous pouvez également leur demander lesquels ils ne connaissent pas et s’ils aimerait le tester pour le découvrir. On peut aussi parler de ceux que l’on aime moins, leur goût : amer ou acide ou qui sent mauvais… C’est important d’explorer ses goûts et de se sentir libre de pouvoir le faire et libre de choisir.

Et ce n’est pas parce que, nous parents, n’aimons pas certains fruits ou légumes qu’ils ne doivent pas avoir l’occasion de les découvrir. 😜

3. Aller au marché ensemble

Les enfants sont plus sensibles à la théorie qu’à la pratique. Ils ont besoin de ressentir et de laisser parler leurs sens. Rien de mieux qu’une balade au marché, à la ferme, chez le petit producteur du coin. On peut sentir, toucher, goûter, découvrir. C’est magique et sa éveille leur curiosité, leurs connaissances et leur appétit vis à vis des végétaux, de la nature, de notre planète.🌎

Ça permet aussi de les sensibiliser au travail de la terre, au cycle de la vie et à la consommation durable et autonome.

4. Trouver des recettes ensemble et cuisiner ensemble

Je vous le redis, les enfants adorent choisir et se sentir impliqués. Parcourez ensemble des livres de recettes ou cherchez sur internet comment cuisiner tel ou tel légumes. On peut aussi leur donner la mission d’inventer une recette à partir d’un légume, ainsi ils expriment leur créativité par la même occasion.

Ouvrez leur la porte de votre cuisine. Ce sont toujours de super moments passés en famille. On s’en fiche si ça devient vite le bazar, on rangera ensemble à la fin. Guidez les en les laissant faire au maximum et vous verrez comme ils apprécieront le repas parce que « c’est moi qui l’ai fait  » #égosurdimensionné 😜

Vous pouvez intégrer les légumes qu’ils aiment moins dans une soupe ou une purée avec un légume qu’ils aiment.

Si vous avez un extracteur de jus vous pouvez créer des jus avec 2 fruits pour un légume par exemple. Les enfants adorent les jus. Si vous n’en avez pas vous pouvez aussi faire des smoothies.

Vous pouvez jouer à devine ce qu’il y a dans la soupe/jus/smoothie. Attisez leur curiosité.

5. Réserver la « malbouffe » aux repas extérieurs.

Evitez autant que possible d’avoir des produits industriels, transformés ou sucrés à la maison. Réservez celà aux repas extérieur 1 à 2 fois par mois par exemple. S’il n’y a pas, on ne consomme pas !

6. Mettre des crudités et des oléagineux à disposition.

Remplacez les produits industriels par des crudités (fruits et légumes crus) et des oléagineux et laissez les en évidence ! Vous verrez, à la fin de la journée, le panier sera bien descendu et ils auront fait le plein d’oméga 3, de fibres et de nutriments essentiels.

Les légumes crus sont plus doux en bouche et l’odeur et la saveur sont moins fortes que lorsqu’ils sont cuits et en plus les nutriments ne sont pas abimés lors de la cuisson.

C’est d’ailleurs le type d’aliment que l’on peut emporter partout pour le goûter. Pensez-y 😉

7. Rééduquer le palais

C’est, selon moi, le plus important. Gardez en tête que plus vous donnerez des produits sucrés, transformés avec additifs et exhausteurs de goût moins ils pourront apprécier les végétaux aux saveurs naturelles. La nature nous offre de VRAIES saveurs, l’industrie nous offre des saveurs trafiquées dans le but de nous rendre accro et de se faire un maximum d’argent.🤑

Il se peut que ce soit difficile au début. Il faut rééduquer le palais. Je vous conseille de commencer par les fruits et les légumes les plus doux. Petit à petit, les enfants retrouveront leur palais et apprécierons les légumes. Il faut en moyenne 1 mois pour se détacher du sucre et apprécier de nouveau les saveurs plus naturelles. Laissez leur le temps, continuez de proposez, de mettre à disposition, n’abandonnez pas.

Croyez moi, ça vaut le coup. Vous verrez vite une nette amélioration dans leur comportement :

  • moins agressifs, énervés, à fleur de peau.
  • Meilleure gestion des émotions
  • Meilleur sommeil
  • Meilleure concentration
  • Moins d’hyperactivité ou au contraire moins de lassitude
  • Moins de soucis ORL
  • Un meilleur système immunitaire

J’espère que cet article pourra vous aider. Je suis curieuse de savoir comment ça se passe chez vous. Ce qui est le plus compliqué concernant l’alimentation. N’hésitez pas à échanger en commentaire 👇🏼

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« L’éducation est un processus naturel chez l’enfant qui n’est pas acquis par les mots mais par l’expérience de son environnement. »

Maria Montessori
Défi #11 : Je garde le moral en toutes circonstances

Défi #11 : Je garde le moral en toutes circonstances

Salut les amis Healthy ! Aujourd’hui je vous propose de garder la pêche malgré tout ce qu’il se passe autour de nous.

Nous vivons tous une période difficile, étrange et compliquée. Une mauvaise ambiance règne autour de nous et de mauvaises ondes essayent d’entrer dans nos maisons.

Il y a plein de choses pour lesquelles on ne nous laisse pas le choix (même si on a toujours le choix, mais ça c’est un autre débat), Pour ce qui est de nos émotions et de nos humeurs, sachez que nous seuls avons la main mise sur elles.

Vous êtes capable de gérer vos émotions et votre bonne humeur.

Alors je ne vais pas vous dire de rester positif quoi qu’il arrive, que ce n’est qu’une mauvaise période à passer et que nous en ressortirons tous plus forts, que c’est l’occasion de voir la vie autrement et de se tourner vers ce qui est vraiment essentiel bla bla bla… Oui bien sûr ! C’est ce qu’il faut se dire.

Mais ici on parle santé et bien-être et je vais donc vous expliquer comment vous pouvez booster votre bonne humeur via l’alimentation et en adoptant une bonne hygiène de vie.

J’adopte l’alimentation de la bonne humeur.

Sérotonine, endorphine, dopamine, ocytocine, noradrénaline… Toutes ces hormones du bien-être sont à notre portée !

On peut, en adoptant une bonne hygiène de vie et grâce à l’alimentation, stimuler sa propre production de sérotonine (hormone de la bonne humeur), d’endorphine (sorte de morphine naturelle) et d’ocytocine (hormone de l’attachement et de la sécurité intérieure).

D’une manière générale, on adopte une alimentation saine et de qualité pour nourrir notre microbiote (flore intestinale) cf article « Je prends soin de mon microbiote ».

Notre microbiote sécrète l’essentiel de nos neurotransmetteurs indispensables à notre équilibre émotionnel dont 95% de sérotonine (l’hormone du bonheur). Il joue un rôle essentiel sur nos états émotionnels, une flore en mauvais état peut nous conduire vers des idées noires, de la mauvaise humeur voire une dépression.

De façon plus spécifique, on fait le plein de minéraux et notamment de magnesium pour faire face aux coups de mou et à la petite déprime de l’hiver. Le magnesium est un antidépresseur naturel et à notre portée. Les fruits à coque, les céréales complètes, les légumineuses, les légumes verts, la banane, le chocolat noir sont d’excellente sources de magnesium.

Pour garder la pêche on va aussi chercher de la vitamine C dans les agrumes et notamment le citron qui est une petite bombe de vitamine C. Mais aussi dans le persil, les kiwis, le cassis et les choux.

On mise aussi sur les oméga-3, qui agissent sur la fluidité des membranes des neurones et favorisent la bonne diffusion des hormones du bien-être, la sérotonine et les endorphines. Vous trouverez des omega 3 dans des oeufs de filière bio, les poissons gras, les graines de chia, graines de lin, les noix et fruits à coque, l’huile de colza, l’huile de lin et de noix, l’avocat et les légumes à feuilles vertes comme les épinards ou la laitue.

Et en amont, évitez la mal bouffe qui au contraire fera naitre fatigue, démotivation, inefficacité et déprime. Malbouffe = produits industriels, alimentation transformée, sucres et céréales raffinées, additifs etc…

Profitez du confinement pour manger du « fait-maison ».

Le sucre et trop de glucides en général ont un effet néfaste sur notre humeur, notre état d’esprit, notre microbiote, notre système immunitaire, notre pancréas et notre foie.

Les aliments raffinés vont augmenter brutalement le taux de sucre dans le sang et provoquer des pics glycémiques dans l’organisme. Le pancréas va alors sécréter de l’insuline pour réguler : c’est l’hypoglycémie réactionnelle.

Au quotidien, ces pics glycémiques sont à l’origine de troubles de la concentration, de troubles du sommeil, de fatigue chronique, d’irritabilité et nervosité.

Cette nourriture transformée et raffinée agît sur nous comme une drogue. Lors de sa consommation, nous sécrétons des hormones de plaisir et la rechute est aussi soudaine que le pic glycémique ce qui engendre une addiction avec les symptômes de manque qui vont avec : angoisses, irritabilité et besoin de recommencer. C’est un cercle vicieux infernal.

LES INGRÉDIENTS DE LA BONNE HUMEUR

Je pratique une activité physique.

Même confinés, il est possible de garder la pêche et de pratiquer des exercices pluri-articulaires, du yoga, du pilate… Pour rester tonique et maintenir notre squelette jusqu’à nos vieux jours et aussi pour déclencher toutes les bonnes hormones bénéfiques pour notre bon moral.

On a vu qu’une bonne alimentation favorise la sécrétion de sérotonine, l’hormone du bonheur. Le sport, lui, enclenche des connections nerveuses qui contribuent à stimuler la neurogénèse au niveau de l’hippocampe et à diminuer les émotions négatives, en particulier le cortisol, hormone du stress.

Plus de neurones, plus de sérotonine et moins de toxines dans l’organisme. Un formidable cercle vertueux pour nous éloigner du stress et des coups de blues.

Je me relaxe.

Cette fois c’est pas le temps qui va nous manquer ! Prenez soin de vous les amis Healthy ! Prenez du temps pour vous. Prenez le temps de faire des activités que vous appréciez et qui vous rendent heureux.

La relaxation fait chuter le taux de cortisol (hormone du stress) dans le sang et stimule la production d’endorphine, de sérotonine et d’ocytocine, qui est l’hormone de la sécurité affective et de la sociabilité.

Veillez également à avoir un sommeil de qualité et régulier. La fatigue conduit à la mauvaise humeur.

Je prends l’air

On est limités pour les sorties mais s’aérer un peu reste primordial. Si vous avez de la végétation près de chez vous profitez en, même si c’est juste un arbre ! Posez vous, respirez, santez les bonnes odeurs de la nature.

L’être humain a besoin de contact avec la nature c’est vital pour lui c’est encré au plus profond de nous. Malheureusement nous avons tendance à nous en éloigner et celà participe à l’augmentation des cas de dépression.

La lumière a également son rôle à jouer pour notre bonne humeur. On fait le plein de luminosité, qui se fait rare pendant l’hiver, en sortant aux heures les plus lumineuses. Par l’intermédiaire du nerf optique, la lumière, via l’hypothalamus, augmente la sérotonine (hormone de la bonne humeur).

Des études réalisées par des spécialistes des neurosciences démontrent que le contact avec la nature stimule le bon fonctionnement cérébral, la créativité et la bonne santé physique pour seulement 20 minutes par jour ! Le contact avec la nature engendre une diminution du cortex préfrontal (partie à risque en ce qui concerne les maladies mentales) et une baisse du cortisol (hormone du stress).

J’établi des contacts d’amour ♥️

On garde le contact avec ceux qu’on aime au maximum. Rien de plus fort que l’amour pour nous rendre heureux. C’est beauuuuuu 😍

Et si vous êtes contraint de passer cette période loin des vôtres, gardez le contact virtuel, c’est toujours mieux que rien. Nous avons tout de même de la chance d’avoir le numérique pour pouvoir continuer à nous parler et nous voir même si rien ne vaut le contact physique.

Profitez de cette période pour redécouvrir votre foyer, votre famille, vos enfants. Echanger et partager avec eux est d’une richesse sans limite. Faites vous des câlins. Les câlins sont un réservoir formidable d’ocytocine.🥰

Riez ! Tournez vous vers des activités hilarantes. Regarder une comédie, lire un livre de blagues, faire des jeux « foufou » en famille… Faites confiance à vos enfants, ils sauront vous guider. Lâchez prise et retrouvez votre âme d’enfant.

Le rire contribue à relâcher les tensions, à dédramatiser et réduit considérablement le stress. Le rire est bon pour la santé physique, moral et émotives. Alors ne vous privez pas !

Vous seul avez la main sur vos émotions et votre bonne humeur alors mettez toutes les chances de votre côté, et n’attendez pas d’être au bord du burn out. Et si c’est déjà le cas, rien n’est irréversible.

D’autant plus que lorsqu’on est serein et de bonne humeur on y voit plus clair et notre esprit n’est pas obscurci par de mauvaises idées. Avec l’esprit tranquille, il est plus facile d’aller de l’avant et de trouver des solutions.

LES PILIERS DE LA BONNE HUMEUR

Les programmes Healthy and YOU sont là pour vous aider si vous avez besoin d’être pris en main. Il n’est jamais trop tard pour inverser la tendance.

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Je vous envoie tout plein de bonnes ondes positives.♡

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« J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé. »

Voltaire
Défi #10 : J’adopte un mode de vie alcalin

Défi #10 : J’adopte un mode de vie alcalin

Je vous avais parlé, dans mon dernier article de l’équilibre acido-basique et de son importance pour le maintien de notre bien-être et de notre santé.

Dans notre civilisation moderne, la tendance à l’acidification est générale. Une mauvaise hygiène de vie, une alimentation trop riche en produits raffinés, la sédentarité, un manque de sommeil, ou encore un niveau élevé de stress contribuent de manière considérable à l’hyper-acidification du corps humain.

Aujourd’hui, nous allons voir plus en détail pourquoi il est primordial de maintenir notre équilibre acido-basique et comment y parvenir.

Comprendre l’équilibre acido-basique.

L’équilibre acido-basique, ou homéostasie du pH est une fonction du corps humain qui vise à réguler le pH du sang. Le pH plasmatique se situe normalement autour de 7,4. On parle d’acidose en cas de diminution du pH et d’alcalose en cas d’augmentation de celui-ci sur une échelle de 1 à 14 avec 1 comme le pH le plus acide, et 14 le plus alcalin (ou basique).

Le corps maintient constamment l’équilibre acido-basique. Un des moyens de régulation consiste en la variation de la vitesse de ventilation pulmonaire. En cas d’acidose, le corps augmente la respiration, et vice-versa. Les reins, bien que plus lents à réagir, ont de puissants mécanismes de régulation du pH par excrétion de l’excès d’acide ou de base.

Le corps va donc faire tout son possible pour maintenir un équilibre acido-basique.

Les répercutions sur notre corps d’un déséquilibre acido-basique (la cause)

L’équilibre acido-basique du sang est une priorité pour le corps c’est pourquoi le pH sanguin varie peu. Le corps va donc épurer le sang au fur et à mesure et les acides seront éliminés dans un temps imparti par les reins et les poumons.

Si le corps souffre d’acidité chronique, Il va chercher tous les moyens à sa disposition pour combattre et tenter de neutraliser ces éléments acides.

Il va essayer dans un premier temps de trouver ces éléments alcalins (des minéraux) via l’alimentation. S’il ne les trouve pas, il sera obligé de puiser dans les réserves du corps, notamment dans les os, les cartilages, les dents. Et dans ce cas entrainer une déminéralisation et pour conséquence de l’arthrose, de l’ostéoporose ou des caries dentaires.

Un déséquilibre du pH peut également perturber la digestion et avoir des répercutions sur le bon fonctionnement de l’organisme.

Tout au long du tube digestif les aliments vont être transformés pour pouvoir être absorbés et assimilés par l’organisme. Ce processus de dégradation se fera sous l’influence des sucs digestifs qui va imposer un pH spécifique au bol alimentaire. La dégradation, d’abord très acide au niveau de l’estomac, va se poursuivre sous l’influence des différentes enzymes et de la flore bactérienne vivant dans nos intestins. Or ces enzymes et cette flore ont besoin pour fonctionner correctement d’un pH spécifique. Si pour un segment les conditions ne sont pas respectées, le processus digestif sera amoindri et les étapes digestives suivantes vont s’en trouver impactées et amoindries.

La nuit la production d’acide diminue. Les tissus conjonctifs pourront alors éliminer leur excès d’acide dans le sang pour l’éliminer ensuite par les reins et les poumons. C’est une période de nettoyage, qui correspond à un processus de guérison. Si une seule nuit ne suffit pas pour éliminer ces déchets acides et si l’apport en nouveaux déchets reste au même niveau alors c’est le début d’une maladie chronique qui va se déclencher plus tard (plusieurs années voire plusieurs décennies après).

D’où l’importance de laisser au moins 14 à 16 heures entre le dernier repas de la veille et le premier de la journée.

Les signes d’un déséquilibre acido-basique (les conséquences)

Un organisme neutre, ou légèrement alcalin, assure le fonctionnement correct du corps et nous maintient en bonne santé. En effet, mis à part dans l’estomac, toutes les réactions chimiques de l’organisme ne se produisent qu’à pH neutre, ou légèrement alcalin. Lorsque le pH se réduit, les niveaux d’acidité grimpent et s’accumulent dans les tissus qui finissent par s’irriter et se lésionner ; le corps, fragilisé et perturbé, se fait alors plus sensible face à la maladie. Le sang, pour neutraliser les acides en excès et retrouver un pH équilibré, puise dans les réserves de nutriments des organes vitaux, entrainant de graves dysfonctionnements.
Divers symptômes peuvent se manifester. Soyez attentifs à ces signes, qui annoncent souvent un organisme trop acide.

  • crise de gouttes, rhumatismes, arthrite, arthrose, ostéoporose…
  • renvois acides, brulures d’estomac, ulcères…
  • troubles digestifs : constipation, ballonnements, gaz malodorants
  • foie sur sollicité et fatigué
  • calculs rénaux et vésicaux
  • problèmes de peau : boutons, eczéma, herpès
  • rhumes, sinusites, otites, bronchites chroniques
  • migraines chroniques
  • douleurs sciatiques
  • hémorroïdes, varices, jambes lourdes
  • crampes musculaires
  • système immunitaire faible
  • fatigue chronique, manque d’énergie, dépression
  • nervosité, irritabilité, insomnies

Une bonne hygiène de vie pour maintenir l’équilibre acido-basique (les solutions)

  1. Diminuer sa consommation de protéines animales, d’aliments et boissons sucrées industriels, d’aliments trop salés riches en chlorure de sodium en limitant votre consommation de sel de table et d’aliments riches en sel : pain, fromage, charcuterie, plats industriels
  2. Réduire sa consommation de produits raffinés : pain blanc, pâtes blanches, farines blanches, sucre raffiné etc… cf article « je me libère du sucre »
  3. Manger lentement et dans le calme, bien mastiquer pour une meilleure absorption des nutriments et des minéraux.
  4. Bien choisir ses produits ménagers et cosmétiques. Certains pouvant être hautement toxiques, perturbateurs endocriniens, voire du niveau de pollution atmosphérique et donc provoquer des risques pour les niveaux d’acidité de l’organisme. Vérifiez donc soigneusement la composition de vos produits de nettoyage. Privilégiez les produits 100% naturels, et tout aussi efficaces – sinon plus –comme le bicarbonate de soude, le citron, ou le vinaigre blanc. Pour les cosmétiques, choisissez des produits de composition simple et entièrement naturelle.
  5. Favoriser et multiplier sa consommation d’aliments végétaux riches en fibres et en minéraux.
  6. Favoriser l’eau, les infusions, l’eau citronnée.
  7. Bouger, s’aérer, pratiquer une activité physique régulière. Il faut savoir qu’une pratique sportive régulière, grâce à ses bienfaits sur le contrôle de la respiration, permet de diminuer les taux d’acidité ; en effet, les poumons sont capables d’éradiquer à eux seuls près de 90% des acides présents en excès dans le corps humain.
  8. Combattre le stress en pratiquant des activités relaxantes et des exercices de respiration. Yoga avec Healthy and You
  9. Retrouver un sommeil de qualité
  10. Pratiquer une cure detox au moins 2 fois par an pour régénérer le corps, l’esprit et son état émotionnel.

Miser sur des aliments alcalins

Il existe une grande controverse autour de la classification des aliments selon leur caractéristique acidifiante ou alcalifiante. C’est pourquoi je décide de ne pas vous partager de tableau classant les aliments par degré d’acidité.

De façon générale, gardez en tête que TOUS les produits raffinés et industriels sont très fortement acidifiants pour votre corps.

D’autre part, plus un aliment va être riche en protéines, plus il va être acidifiant. (protéines animales mais aussi végétales).

Viennent ensuite les produits céréaliers qui présentent également des propriétés plus acidifiantes pour le corps. Pensez donc à ne pas abuser des féculents tels que riz, avoine, blé, sarrasin etc… même s’ils sont complets !

Plus vous consommez de végétaux , plus vous donnez la chance à votre organisme de se sustenter en minéraux, vitamines et nutriments nécessaires à son équilibre.

Privilégiez les légumes crus, qui sont d’excellentes sources de vitamines, minéraux, fibres et oligo-éléments. Chargés d’oxygène, ils possèdent également des enzymes naturels qui éliminent les toxines accumulées et renforcent les défenses naturelles de l’organisme. Ils sont particulièrement alcalinisants. Sinon, préférez les cuissons douces telle que la cuisson à la vapeur.

Les légumes verts sont reconnus pour leurs propriétés alcalinisantes et sont très efficaces pour retrouver l’équilibre acido-basique dans l’organisme.

Il existe également des aliments particulièrement bénéfiques pour combattre l’acidité de l’organisme tel que le citron, le gingembre, les épices, les herbes aromatiques, les infusions de plantes ou bien encore des super aliments comme la chlorelle et la spiruline.

Assurez-vous également de vous tourner vers des fruits et légumes issus de l’agriculture biologique, pour éviter la surconsommation de pesticides, engrais chimiques et autres toxiques, qui favorisent l’acidification de l’organisme.

NB : certains aliments demeurent acides au goût mais cela ne signifie pas qu’ils présentent un caractère acide pour notre organisme. Ex : le citron est acide au goût mais fortement alcalinisant pour l’organisme.

💡L’astuce d’une gourmande Healthy : Suite à un repas trop copieux ex : alcool + gâteaux apéro + repas viande et céréales raffinées + fromage et pain blanc + désert raffiné 😱 C’est le cocktail acide par excellence ! Je sais ça nous arrive à tous et c’est la vie ! Néanmoins vous pouvez redresser la barre en amont avec des repas alcalin ou bien avec un jeûne de 24h avec des jus et des soupes faits maison et alcalins.

Vous l’aurez compris les amis Healthy, c’est encore une fois une question d’équilibre. ⚖️

Pour vous accompagner dans le maintien de votre équilibre acido-basique, les programmes Healthy and You sont là pour vous guider 👉🏼 Programmes Healthy and You.

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« Fais du bien à ton corps pour que ton âme ait envie d’y rester »

Proverbe Indien

Sources : https://fr.wikipedia.org/wiki/Équilibre_acido-basique

https://www.passeportsante.net/fr/Nutrition/Regimes/Fiche.aspx?doc=equilibre_acido_basique_regime

https://www.naturaforce.com/supprimer-lacidite-dans-lorganisme/

https://www.creer-son-bien-etre.org/listes-des-aliments-alcalinisants-et-acidifiants

Défi #9 : Je prends soin de mon microbiote

Défi #9 : Je prends soin de mon microbiote

A l’intérieur de nos intestins, nous hébergeons des colonies de « bonnes » bactéries. C’est ce que l’on appelle le microbiote. C’est l’essence de notre flore intestinale. Ce sont elles qui gèrent l’équilibre de notre métabolisme et qui conditionnent 70% de notre immunité. Une bonne alimentation est garante d’un microbiote fort et prompt à affronter ennemis en tout genre.

Prendre soin de sa santé dans sa globalité (corps, esprit, émotions) demande de prendre soin de son microbiote intestinal.

Comprendre le microbiote

Avant toute chose, il est important de comprendre comment ça se passe à l’intérieur de nos intestins.

L’intestin est le grand capitaine du corps et de son équilibre intérieur. Il communique sans cesse avec notre cerveau et beaucoup de chercheurs sont d’accord pour dire que celui-ci est notre deuxième cerveau. Tout ce qu’on ingurgite passe et est trié, traité, transformé par l’intestin. Il exerce donc un rôle fondamental dans l’équilibre de notre organisme. Alors on le chouchoute car on va comme va notre intestin.

Le microbiote travail en partenariat avec :

  • Les poumons
  • Le foie
  • La peau
  • Les reins
  • Les intestins bien sûr

Ce sont nos organes émonctoires. Ils sont tous responsables de faire le ménage à l’intérieur et de nous débarrasser des toxines et autres perturbateurs. Il faut incontestablement les choyer et leur procurer les bonnes armes pour nous protéger et pour tenir notre équilibre interne.

Le microbiote est garant de notre santé physique ET mentale.

Vous l’aurez compris, un microbiote bien portant nous assure une bonne santé physique. Il faut savoir qu’il joue également un rôle très important pour notre esprit, nos neurones et nos émotions.

Notre microbiote sécrète l’essentiel de nos neurotransmetteurs indispensables à notre équilibre émotionnel dont 95% de sérotonine (l’hormone du bonheur). Il joue un rôle essentiel sur nos états émotionnels, une flore en mauvais état peut nous conduire vers des idées noires, de la mauvaise humeur voire une dépression.

En gros lorsqu’on est bien dans son ventre on est bien dans notre tête.

Comment le rendre plus fort ?

On détoxifie notre organisme face aux toxines.

On régule notre équilibre acido-basique. C’est-à-dire le PH des tissus et de tous les liquides de notre corps. Il doit se situer idéalement autour de 7.4 sur une échelle de O (acidité absolue) et 14 (alcalinité absolue) soit légèrement alcalin.


Les bactéries et microbes prolifèrent dans un milieu acide.

Si les poumons, le foie, la peau, les reins et les intestins présentent trop d’acidité notre corps nous envoi alors des messages d’alerte : maladie, sinus encombrés, fatigue, eczéma, boutons, brulure d’estomac, maux de tête, mal de dos…Donc pour un bon équilibre on évite l’acidité provoquée par :

  • Les graisses saturées
  • Les glucides
  • La viande
  • L’alcool
  • Fromages très fermentés en excès
  • Café en excès
  • Thé noir en excès
  • Lait de vache
  • Médicaments
  • Mauvais sommeil
  • Surmenage
  • Stress et angoisses
On privilégie les produits BIO.

En consommant les fruits et légumes bio, des produits laitiers bio, la viande, le poisson et des œufs bio on limite le risque d’exposition aux pesticides d’environ 80%.

On allège la digestion.

On ne surcharge pas de travail notre système digestifs et nos organes émonctoires. On évite les produits raffinés et industriels qui leurs demandent de gérer trop de toxines. On soulage notre système digestive à l’aide de jeûnes : intermittent, sec, hydrique, aux jus, monodiète… Mais aussi en limitant l’association d’aliments trop lourds à digérer. Ex : Viande + Gluten + Désert raffiné 😱

Les fibres sont nos amies pour la vie.

Elles ont une action régulatrice sur le transit, et le métabolisme des graisses et des sucres. Préservant l’équilibre entre la faim et la satiété, les fibres permettent de limiter les prises alimentaires et sont de vraies alliées dans la gestion de notre poids.

Attention ! Qui est trop sage n’est pas sage.

Un petit écart dans la semaine va agresser l’organisme et déclencher des phénomènes de surcompensation qui vont finalement renforcer le terrain. On va enclencher le mode élimination des toxines et de façon ponctuelle le corps à le temps de se réorganiser ensuite. Notre système immunitaire a besoin d’entrainement. Lorsqu’on est trop propre on rend nos défenses plus fragiles. Donc un écart de temps en temps va renforcer notre microbiote et notre équilibre acido-basique.

On prends de bonnes habitudes.

Pour aller plus loin dans la santé de votre microbiote, les programmes Healthy and You sont là pour vous guider 👉🏼 Programmes Healthy and You.

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« Je choisis de prendre mon bien-être en urgence plutôt que mon mal en patience »

Anonyme
Défi #8 : Je boost mon système immunitaires.

Défi #8 : Je boost mon système immunitaires.

L’hiver est bientôt là, et avec un certain virus qui court, dont je ne citerai le nom, je peux plus me l’encadrer… 🤷🏼‍♀️😜 Il est plus que temps de donner un gros coup de pouce à notre système immunitaire.

Il est très simple, et à la portée de tous de renforcer son système immunitaire . Alors laissez tomber les milliards de cures (#marseillaise) qu’on vous propose sur internet ou en parapharmacie. Les remèdes sont dans la nature et dans nos placards et surtout dans notre façon de vivre !

Étapes 1 : Je soigne mon alimentation

Vous l’aurez compris, l’alimentation c’est la base de tout et c’est évident puisqu’il s’agît de notre carburant.

Saviez- vous que 70% de notre système immunitaire se trouve dans notre flore intestinale ? D’où l’importance de soigner ses intestins.

Notre flore intestinale est composée d’environ 100 milliards de bactéries (de bonnes bactéries) qui jouent un rôle majeur de défense contre les agents pathogènes. C’est notre microbiote intestinal.

Une bonne alimentation est garante d’un microbiote fort et prompt à affronter ennemis en tout genre.

Et à contrario, une alimentation non adaptée viendra le perturber.

Les ennemis de notre microbiote :

  • Les aliments transformés avec leurs gammes d’additifs en tout genre
  • Les médicaments : surtout les anxiolytiques et antibiotiques
  • Les pesticides et polluants aériens
  • Les OGM
  • Le stress

Tout un tas de mauvaises bactéries, de toxines qui ne sont pas traitées mais stockées et qui s’accumulent et qui finissent par dérégler notre équilibre interne.

Si nos armées intérieures n’arrivent pas à faire leur travail c’est avant tout parce qu’on les sursollicite par une alimentation trop lourde à traiter.

Lorsqu’on nourrit correctement son microbiote on le rend plus fort face aux mauvaises bactéries. Donc il ne s’agît pas seulement d’éviter les toxines dans les mauvais aliments. Il faut aussi puiser dans des aliments qui viendront renforcer notre microbiote : tous les végétaux, les oméga 3, les prébiotiques et les probiotiques.

Les fibres, quant à elles, ont une action régulatrice sur le transit, et le métabolisme des graisses et des sucres.

D’autre part, notre microbiote sécrète l’essentiel de nos neurotransmetteurs indispensables à notre équilibre émotionnel dont 95% de sérotonine (l’hormone du bonheur) Il joue un rôle essentiel sur nos états émotionnels, une flore en mauvais état peut nous conduire vers des idées noires, de la mauvaise humeur voire une dépression. En gros lorsqu’on est bien dans son ventre on est bien dans notre tête.

Et lorsqu’on sait que le stress affaiblit notre système immunitaire… on a tout intérêt à prendre soin de son alimentation et de son microbiote.

Étape 2 : Je pratique une activité physique régulière.

Et surtout en hiver !

On a, à tord, tendance à oublier le sport en hiver parce qu’il fait froid et qu’on préfère le plaid sur le canapé. Et aussi parce que de toute façon on va pas se mettre en maillot de bain… 😆

Mais l’exercice physique ça n’est pas qu’une question d’apparence. Bouger est essentiel à notre organisme et notre bonne santé.

Avec l’alimentation, le sport agît comme un médicament. C’est le magicien de notre organisme.Le sport renforce et purifie notre organisme et de surcroît ralentit le processus de vieillissement. Faire du sport devrait être aussi naturel que se laver les dents chaque jour.

On a vu qu’une bonne alimentation favorise la sécrétion de sérotonine, l’hormone du bonheur.Le sport, lui, enclenche des connections nerveuses qui contribuent à stimuler la neurogénèse au niveau de l’hippocampe. Plus de neurones, plus de sérotonine et moins de toxines dans l’organisme. Un formidable cercle vertueux pour nous éloigner du stress.

Et lorsqu’on sait que le stress affaiblit notre système immunitaire… Je l’ai déjà dis non ?😜

On peut pratiquer de petites séances de 30 minutes tous les 2 jours. Ou 1h 3 fois par semaine en fonction de son planning.

On peut pratiquer à la maison avec du petit matériel, c’est parfois plus pratique que de se déplacer en salle de sport.

On peut aussi choisir une discipline qui nous plaît au sein d’une association.

On peut prendre l’air, marcher, courir, faire du vélo. Seul, entre amis, en famille. Les possibilités sont larges.

Ne vous donnez pas des objectifs gargantuesque, le but c’est juste de bouger, pas de devenir un sportif de haut niveau. Choisissez une discipline qui vous plaît, qui vous motive et dans laquelle vous vous sentirez épanouie. Sinon, vous risquez de vite vous décourager.

Étape 3 : Je dors suffisamment.

Le sommeil est nécessaire au bon fonctionnement de notre organisme.

En moyenne le temps de sommeil idéal est de 7h30. C’est une moyenne, certains auront peut-être besoin d’une heure de plus ou de moins.

Pendant cette période de sommeil, le cerveau sécrète des hormones qui aident le système immunitaire à lutter contre les infections bactériennes et virales.

Les différents stades du sommeil permettent à l’organisme de faire le plein d’énergie. Et pour combattre les vilain microbes, il faut être en pleine forme !

Et lorsqu’on est fatigué, on est de mauvaise humeur et stressés.

Et lorsqu’on sait que le stress affaiblit notre système immunitaire… 😆

ÉTAPE 4 : Je me détend

Saviez-vous que le stress affaiblit notre système immunitaire ? 🤪

Bon, vous l’aurez compris les amis Healthy, prenez soin de vous, faites vous du bien. Prenez du temps pour vous.

Et c’est là qu’entrent en scène notre plaid et notre canapé. 🥰

Détendez vous. Lisez, pratiquez des soins, des massages aux huiles chaudes, prenez un bain, cuisinez, éveillez vos sens, écoutez ou jouez de la musique, faites ressortir votre âme d’artiste avec des dessins, de la peinture, des mandalas, de la couture, du crochet, de la broderie… Faites ce qu’il vous plaît et qui vous détend.

La méditation et le Yoga sont des pratiques idéales pour se détendre et luter contre le stress et aussi pour booster ses défenses immunitaires.

ÉTAPE 5 : Je m’équipe d’une trousse de santé naturelle

La nature nous offre tout ce dont nous avons besoin pour donner un coup de pouce à nos défenses immunitaire.

Mais gardez en tête que l’un ne va pas sans l’autre. Vous pouvez vous doper au Ravinsara et au miel tous les jours, si vous n’avez pas une bonne hygiène de vie, malheureusement, ça ne vous aidera pas beaucoup.

Je partage avec vous mes indispensables pour booster le système immunitaire.

Les programmes Healthy and YOU sont idéaux pour prendre soin de votre flore intestinale et renforcer votre système immunitaire. Il vous accompagneront pas à pas vers une meilleure hygiène de vie.

Pour plus de conseils et astuces Healthy, vous avez aussi la possibilité de vous inscrire à la News Letter. C’est tous les vendredis et c’est gratuit !

Prenez soin de vous les amis Healthy 😘

« La nature est, après tout, notre seul véritable guide dans la vie. »

Théodore Roszvak
Défi #7 : Je me libère du sucre

Défi #7 : Je me libère du sucre

Le sucre est l’ennemis numéro 1 de notre société.

A l’origine de maladies et troubles comportementaux, il se cache partout et nous empoisonne l’existence.

Il est pourtant très simple d’inverser la tendance.

Avec Healthy and You, libérez vous du sucre en 5 étapes :

Etape 1 : Je différencie les sucres nutritifs et les sucres nocifs.

Tous les sucres ne sont pas des poisons. Et heureusement 🙏🏼

Au sain de la grande famille des glucides se cachent des sucres dit « raffinés » et les sucres « non raffinés », complets.

Une graine raffinée est une graines dont on a retirer toute l’enveloppe pour n’en garder que le coeur. Autrement dit, plus grand chose à part du sucre🤨

Les glucides raffinées ont été dépouillés de toute valeur nutritionnelle.

C’est dans l’enveloppe que l’on va retrouver tous les nutriments, les minéraux, les vitamines et les fibres dont notre corps a besoin. C’est pour cela qu’il est primordial de consommer des glucides complets.

Farines blanches, pâtes blanches, riz blanc, pain blanc, sucre blanc et sucre de canne blanc ou roux = sucre.

Préférez les farines, pâtes, pain, céréales et sucres complets pour bénéficier de tous les intérêts nutritionnels qu’ils ont à vous offrir.

Etape 2 : J’apprends à reconnaître le sucre dans une liste d’ingrédients.

La liste des ingrédients sur les étiquettes des produits industriels est élaborée par ordre de quantité : de l’ingrédient le plus présent au moins présent.

Evitez les aliments transformés dont un sucre raffiné est présent dans les 3 premiers ingrédients de la liste.

De plus, la liste d’ingrédients est souvent composée d’autres sucres sous d’autres appellations : sirop de glucose-fructose, sucre inverti, sucre de canne, cassonade, sirop de maïs, sirop de riz, extrait de malt d’orge, maltose, saccharose, dextrose, amidon modifié, dextrine, maltodextrine, concentré de fruit ou légume… Tout ça c’est du sucre ! 👏🏼

Ce sont des sucres transformés et ultra transformés très néfastes pour notre organisme.

Méfiez-vous, aux rayons des supermarchés, le sucre est présent PARTOUT ! Biscuits apéro, jambons, conserves, sauces, soupes… PAR-TOUT !

Ne vous fiez pas au marketing ni même au tableau nutritionnel, seul la liste d’ingrédients compte ! Ex : Pain de mie complet. Vérifiez la liste, ce n’est pas parce que le marketing annonce complet qu’il l’est. Il contient peut-être du blé complet mais surement aussi d’autres sucres raffinés.

Étape 3 : Je comprends les dégâts que le sucre cause sur mon organisme.

Le sucre et trop de glucides en général ont un effet néfaste sur notre humeur, notre état d’esprit, notre microbiote, notre système immunitaire, notre pancréas et notre foie.

Les aliments contenant du sucre raffiné vont augmenter brutalement le taux de sucre dans le sang et provoquer des pics glycémiques dans l’organisme. Le pancréas va alors sécréter de l’insuline pour réguler : c’est l’hypoglycémie réactionnelle. Ce surmenage du pancréas est un risque à long terme de développer un diabète et à court terme de prendre du poids.

Au quotidien, ces pics glycémiques sont à l’origine de troubles de la concentration, de troubles du sommeil, de fatigue chronique, d’irritabilité et nervosité.

Le sucre agît sur nous comme une drogue. Lors de sa consommation, nous sécrétons des hormones de plaisir et la rechute est aussi soudaine que le pic glycémique ce qui engendre une addiction avec les symptômes de manque qui vont avec : angoisses, irritabilité et besoin de recommencer. C’est un cercle vicieux infernal.

Protégeons nos enfants de ce doux poison. Leur corps et leur système neurologique est en pleine croissance, mettons à leur disposition tout ce dont ils ont besoin pour bien grandir et éviter des dérèglements et soucis de santé présents et futurs.

Étape 4 : Je ne remplace pas le sucre par des édulcorants

Les édulcorants sont des composés chimiques artificiels qui imitent le goût du sucre sans les calories. Bingo !🎉

Et bien non ! Tout n’est pas qu’une question de calories et de poids.

Les aliments sont destinés à nourrir notre organisme dans le but de le faire fonctionner et de le maintenir en bonne santé. Les édulcorants ne sont pas nutritifs.

Aucun organe de notre organisme ne sait quoi en faire. Ils seront traités comme un déchet et vont apporter encore plus de travail (pour rien) à nos organes émonctoires. (foie, pancréas, reins, intestins)

De plus, ils entretiennent notre goût pour le sucre sans en avoir la satisfaction.

Il vaut mieux ingérer des aliments qui vaillent le coût non ?

ÉTAPE 5 : J’apprends à remplacer les aliments transformés et raffinés par des aliments nutritifs

Faites moi confiance les amis Healthy, si vous supprimez les glucides raffinés de votre quotidien, vous verrez votre énergie s’accroitre et bon nombres de maux disparaitre.

Les programmes Healthy and YOU sont là pour vous aider si vous avez besoin d’être pris en main. Il n’est jamais trop tard pour inverser la tendance.

Je suis curieuse d’avoir vos retours sur le sujet. Comment ça se passe à la maison ? Où en êtes vous avec le sucre ?

Peut-être certains d’entre vous ont connu ou connaissent une addiction au sucre. N’hésitez pas à venir échanger sur le blog.😉

Pour plus de conseils et astuces Healthy, vous avez aussi la possibilité de vous inscrire à la News Letter. C’est tous les vendredis et c’est gratuit !

Prenez soin de vous les amis Healthy 😘

« Il vaut mieux accepter la sincérité du piment que l’hypocrisie du sucre ».

ma-citation.com
Défi #6 : Je prépare le repas en moins de 30 minutes

Défi #6 : Je prépare le repas en moins de 30 minutes

Vous le savez, avec Healthy and You, on aime les repas sain, les repas gourmands mais surtout les repas rapides !

La principale raison qui freine la plupart d’entre nous à faire la cuisine quotidiennement et qui les poussent vers les repas industriels c’est le temps. Trop souvent, on pense à tort que cuisiner c’est long et compliqué.

Aujourd’hui, je vais partager avec vous les 5 fondamentaux d’une cuisine saine, faite maison, gourmande, rapide et simple.

1. On programme nos repas pour la semaine.

L’astuce principale c’est l’OR-GA-NI-SA-TION ! La veille des courses on programme ses menus. On recherche et on sélectionne des recettes si on manque d’inspi. En plus, ça nous permet d’avoir une bonne visibilité sur la fréquence de certains aliments comme les protéines animales ou les produits céréaliers par exemple. Mais aussi pour les essentiels comme les végétaux.

Pour ceux qui débutent en cuisine, on peut évidement laisser 2 ou 3 repas « libres » au départ, n’hésitez pas à faire les choses progressivement. L’idée c’est de se familiariser avec la cuisine et petit à petit mieux maîtriser et augmenter le « fait-maison ».

2. On fait une liste de courses et on s’y tient.

Une fois que les menus sont planifiés, on peut rédiger sa liste de courses. Pour ceux qui désirent améliorer leur hygiène de vie, évitez d’acheter des extras qui pourraient vous tenter. Si il n’y en a pas, on n’en mange pas. 🤷🏼‍♀️ Mais sans être drastique, on peu s’accorder 1 plaisir ou 2 bien -sûr. En tout les cas pensez à manger avant d’aller faire les courses sinon c’est la cata !

Faites déjà une liste de courses de base, en ensuite vous rajouterez ce dont vous avez besoin en plus pour les recettes prévues. Je vous partage une liste de courses de base c’est cadeaux 😇

3. On pratique le Batch Cooking.

Très en vogue, mais surtout très pratique, le Batch Cooking consiste à préparer ses repas le week-end pour la semaine.

Vous pouvez tout préparer si vous le souhaitez. Sinon, au moins ce qui demande le plus de temps et de travail ou ce qui peut nous avancer : plats mijotés, gratins, féculents, pâtes à tarte, pâtes à pizza ou quiche, wraps, galettes, crêpes, cakes salés etc…

Comme ça, il n’y a plus qu’à assembler, réchauffer, assaisonner, faire une sauce et à table ! 🍽

Healthy and You partage avec vous son Batch Cooking 👉🏼 Batch Cooking Healthy and You

4. On s’aide de légumes surgelés et/ou en conserve et on mise sur les crudités.

Rien de plus sain et de plus rapide que des crudités ! Les bienfaits des aliments ne sont pas altérés par la cuisson et elles demandent très peu de temps de préparation.

Sinon, n’hésitez pas à vous aider de boîtes de conserves, notamment pour les légumineuses ou de surgelés. Au moins pour les jours de la semaine et vous gardez l’option légumes frais pour le week-end.

Ces procédés de conservation préservent les nutriments et donc les bienfaits des légumes. Parfois davantage que certains produits frais venant de l’autre bout du monde 🤨

5. On double les portions pour en avoir en avance.

Une fois qu’on est devant les fourneaux, on prépare des portions d’avance tant qu’à faire.

Par exemple, quitte à cuire du riz, autant prévoir plus pour un menu suivant.

On peut aussi prévoir plus pour emmener au travail pour le déjeuner.😉

Vous l’aurez compris la clé c’est l’organisation. Parce qu’au final, il est tout à fait possible de limiter son temps en cuisine à moins de 30 minutes et je vous le prouve tous les jours 😁

Pour vous inspirer de mes repas sain et gourmands en moins de 30 minutes de prépa c’est par là 👉🏼 Les recettes -30 min Healthy and You

Et pour ne rien louper de mes astuces pour du bien-être au quotidien, inscrivez-vous à la news letter, c’est gratuit ! 👉🏼 News Letter Healthy and You

Si vous aussi vous avez des astuces pour gagner du temps, n’hésitez pas à nous les partager en commentaire 👇🏼

Prenez soin de vous les amis Healthy ! 😘

« Soyez rapide sans vous presser »

John Wooden
Défi #5 : J’arrête les régimes

Défi #5 : J’arrête les régimes

Aujourd’hui je viens vous parler d’un sujet qui me tient à coeur. Dans le cadre de mon métier mais aussi dans mon entourage, j’ai rencontré trop de personnes perdant force et énergie à essayer multitude de régimes.

LES REGIMES SE SOLDENT TOUJOURS PAR UN ECHEC. Frustrations, culpabilité et perte de confiance en soi, c’est juste tout cela que l’on va trouver.

La société nous impose de penser qu’il faut manger moins, manger sans, manger en poudre, en barre, light, allégé en ceci ou cela, sans sucre etc… CE N’EST QUE DU MARKETING.

À aucun moment on nous enseigne à MANGER MIEUX, local, de saison, bio, fait maison, complet, non raffiné etc…

Heureusement, nous sommes de plus en plus nombreux à retrouver le chemin du « manger sain » et à consommer de façon responsable.

Alors, Pourquoi les régimes ne fonctionnent-ils pas ?

1. Ils ne sont pas adaptés aux besoins de notre organisme.

Tout d’abord, la plupart des régimes ne sont pas adaptés à nos besoins. Ils engendrent faim et fatigue parce que les apports nutritionnels ne ont pas comblés. D’autre part, dans la majorité des cas l’équilibre entre glucides, lipides et protéines n’est pas maintenu.

CE N’EST PAS BON POUR NOTRE ORGANISME DE SUBIR DES DESEQUILIBRES AU NIVEAU DES MACRONUTRIMENTS.

2. Ils sont trop privatifs.

On s’impose souvent un régime draconniens pour perdre du poids à toute allure, mais sur le long terme c’est impossible à tenir et la frustration donne place à un gros craquage et on reprend du poids. Et souvent plus qu’avant. On se décourage, on déprime et on mange pour se consoler. Et ça n’en finit jamais.

3. Ils sont trop contraignants.

Il y a aussi les régimes trop contraignants du point de vue social et je pense aux régimes « sans » que l’on s’inflige sans raison apparente parce que intel l’a fait sur Insta et que c’est super tendance. Pourquoi ? Si votre santé ne le nécessite pas, c’est pas la peine. On n’est pas venu ici pour souffrir ok ? 😜

4. Ils ont comme principale motivation le physique superficiel et non la santé.

Si l’on a pour seule optique de perdre du poids, ça ne peut pas fonctionner. Il faut bien comprendre que le surpoids est lié à un déséquilibre. La première des choses à faire est de s’intéresser à l’équilibre de notre organisme dans sa totalité (corps et esprit) et le poids suivra.

Le fait de venir chambouler notre organisme avec des régimes non adaptés à nos besoins fondamentaux ne fera qu’aggraver la situation.

La société nous incite à nous préoccuper uniquement de notre physique superficiel mais il est temps de nous soucier de ce qu’il se passe à l’intérieur.

5. Ils sont impossibles à tenir sur le long terme.

Et surtout, la principale raison pour laquelle les régimes ne fonctionnent pas c’est que TOUS les régimes sont Impossible à tenir sur le long terme. Qui veut subir frustration, fatigue et fringales toute sa vie ? Pas moi en tout cas 🙏🏼

Les compléments alimentaires pour perdre du poids ça marche ?

Pitié, arrêtez de croire les publicités. Les publicitaires sont là pour vous convaincre d’acheter et pour empocher le pactole 🤑. Ils ne sont pas là pour vous aider à prendre soin de votre santé 😇. Pour ça, il y a des professionnels de santé (comme moi 🤓) qui sont là pour vous guider.

Aucune poudre, aucune barre, aucune crème hydratante ne vous aidera à perdre du poids. Votre portefeuille sera plus légé lui c’est sûr…

CE SONT DE PURS PRODUITS INDUSTRIELS TRANSFORMES ET FABRIQUES PAR L’HOMME. La nature a tellement mieux à nous offrir. La nature regorge des nutriments dont notre corps à besoin.

CQFD, pour prendre soin de vous, oubliez l’industrie et rappelez vous que ce dont votre organisme à besoin pour bien fonctionner se trouve dans la nature et non dans une usine.

Mais alors qu’est ce que je fais avec mes bourrelets ?

Tout d’abord, commencez par calculer votre IMC pour savoir si vous êtes en surpoids. Si c’est le cas, il faut effectivement surveiller votre alimentation et veiller à bouger un maximum. Sinon, un peu d’exercice et une alimentation de qualité fera l’affaire.

On opte pour un rééquilibrage alimentaire plutôt qu’un régime.

On oublie les farines et sucres raffinés, les produits industriels, les sodas, jus de fruits et l’alcool pour 80% de notre alimentation. On remplace par du fait maison, des farines et sucres complets et de l’eau et des infusions.

On se fait plaisir pour les 20% restants.

On peut réduire notre apport calorique de 300 kcal MAXIMUM par jour si on est en surpoids, en répartissant bien tout au long des repas de la journée pour ne pas sentir de grosses fringales. Et surtout on veille à avoir un apport équilibrer entre glucides, protéines et lipides mais aussi un apport conséquent en fibre (50% de nos repas) et on varie les sources alimentaires pour bénéficier d’un maximum de nutriments.

PAS DE FRUSTRATION – PAS DE FATIGUE – PAS DE CRAQUAGE = RESULTATS SUR LE LONG TERME

N’oubliez pas que personne n’est devenu maigre en mangeant une salade et personne n’a jamais grossi en mangeant une pizza. Tout est une question d’équilibre.

Pour un accompagnement pas à pas, vous pouvez commander mon programme Réussir son rééquilibrage alimentaire.

Et pour aller encore plus loin, le Programme detox + rééquilibrage alimentaire.

Je suis là pour vous guider dans la prise en main de votre alimentation, de votre santé et surtout de votre bien-être.

Désolée pour toutes les majuscules, au départ je ne voulais pas que ça se transforme en coup de gueule mais c’est plus fort que moi 😬 #sujetsensible

Je vous en prie, les amis, arrêtez le massacre, faite vous du bien et oubliez tous ces régimes qui nous font du mal.

Prenez soin de vous 😘

« Oui je mange sain, non je ne fais pas de régime.« 

– Lotus et bouche cousue –

Thème : Overlay par Kaira. Texte supplémentaire
Le Cap, Afrique du sud